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Rosace sphérique, entrelacs et dorures pour décorer la porte royale Les marqueteries de l´iconostase
 
Un autel à dais Une mosaïque du père Farid Choucair
 
La marque du maître Moussa constructeur de l´iconostase en 1847
 
 
Église Notre-Dame de la Dormition (Niyah as-Saydé) de Choueifat
 
Décors extérieurs
  • Portail d'entrée sous un grand arc brisé à coussièges et corniche, le tout en pierres de couleurs ocre et blanche alternées dans le style des palais syro-libanais des XVIIIe et XIXe siècles ottomans
  • Ouvertures à encadrement de pierres ocres et blanchesalternées
  • Fenêtres géminées couronnées par deux arcs segmentaires et une croix fleurdelysée, et monumentalisées par un encadrement de pierres ocres et blanches alternées
Décors intérieurs
  • Iconostase de 1847 en marbre marqueté relevé de dorures en stuc et de plaque en qachani dans le style hybride arabo-baroque des décors des palais syro-libananais des XVIIIe et XIXe siècles
  • Parterre en dalles de marbre marquetées de noir et ocre
  • Rosace, étoiles, cordons, colombes et autres motifs en stuc sur la voûte et la partie supérieure des parois de la nef
  • Rangée des apôtres couverte de dorures de style baroque
  • Tribune en bois au garde-corps agrémenté de motifs géométriques
  • Stalle épiscopale en marbre de style classique
  • Dais de l'autel en bois ajouré et relevé de dorures
Icônes remarquables
  • Trois anciennes icônes royales de la main de Ibrahim Abdo Jabbour, 1938
  • Nouvelles icônes royales par Fadi Majdalani, 2004-2011
  • Mosaïque de la Mère du Seigneur par le père Farid Choucair, 2001

Vestiges archéologiques Cuve baptismale d'âge ottoman taillée dans un bloc de calcaire blanc
Inscriptions
  • Dédicace de 1723
  • Plaque de commémoration de la confection de l'iconostase en 1847
Vestiges autour du
monument
Épitaphes remontant au XVIIIe siècle
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© Université de Balamand, Mise à jour juin 29, 2016